L'orange était
l'unique lumièreExtrait
de
Presse
Le peintre c'est Egon Schiele. J'ai trouvé une
voix au peintre et les autres, entendant du bruit ou voyant de la
lumière, sont arrivés. L'actrice, le gardien, le peintre n'habitent pas
le même espace-temps. Des centaines de kilomètres et des décennies les
séparent... Pourtant leurs lignes de fuite tendent vers le même point
de fuite. Pourtant leurs paroles s'entrelacent autour d'un même axe.
Tous trois sont prisonniers d'un espace (ou d'un cauchemar).
DZ. Dossier de Presse
Dorothée Zumstein
L'orange était l'unique lumière
Préface de Catherine Ailloud-Nicolas
ISBN 978-2-916834-21-4
112 pages 12 euros
Pour raconter l’histoire d’Egon Schiele, Dorothée Zumstein établit un
code, une convention qui part d’une réalité. Les personnages inscrits
dans des espace-temps différents ne peuvent communiquer, sauf dans le
prologue et l’épilogue, zones d’utopie et d’uchronie de la fiction dans
lesquelles l’espace et le temps du théâtre passent au premier plan. Le
8 des années des trois personnages se renverse et devient le symbole de
l’infini.
LIRE
UN EXTRAIT